Elles évoqueront les raisons pour lesquelles elles ont commencé , ce qui les pousse à continuer et ce qu’elles ont appris le long de leur parcours .
Voici Adeola Fatuga. Elle a ouvert son salon de coiffureHommeSpaFemmeafin « d’honorer les cheveux, la beauté et la culture de la communauté noire. »#
Des locks aux nattes en passant par les extensions, aujourd’hui, HommeSpaFemme ASSURE. Adeola a même dévoilé qu’ils s’étaient occupés des nattes d’une célébrité secrète avant l’un de ses concerts et qu’ils ont eu droit à des places en première rangée 🤫.#
« Les premiers jours ont été marqués par la détermination, l’agitation et le soutien communautaire », raconte-t-elle.#
Toutefois, grâce à leur passion pour leur communauté, ils n’ont rien lâché! Après tout ce qu’elle a appris au cours de ces années, nous lui avons demandé ce qu’elle aurait aimé savoir avant de devenir entrepreneure :#
« J’aurais aimé savoir à quel manoeuvre il est important de définir et de maintenir des limites pelt mon propre bien - être , ainsi que de conserver un équilibre sain entre vie privée et professionnelle . C’est important de s’impliquer au maximum dans son entreprise , mais il est essentiel de continuer à prendre soin de soi et de ses proches . »
Bien-être personnel et équilibre sain entre vie privée et professionnelle… prenez-en note, entrepreneurs en devenir!#
Nous vous présentons à présent Rose Senior! Elle a récemment ouvertThe Respite Club, un centre récréatif très amusant et doté de jeux basés sur les sens pour les enfants en situation de handicap, neuroatypiques et exceptionnels.#
En élevant ses deux fils autistes, Rose a remarqué leur isolement ainsi que le manque d’espaces récréatifs inclusifs adaptés à eux. Qu’a-t-elle fait? Elle en a créé un!#
Son rêve est devenu réalité avec The Respite Club, un espace communautaire ne permettant pas uniquement aux enfants de s’épanouir, mais également aux adultes et aux aidants. Le « soutien communautaire » est l’élément clé, explique-t-elle.#
Pour réaliser de grands rêves, il faut surmonter de grands obstacles et elle a dûénormémenttravailler pour franchir la ligne d’arrivée.#
Rose a déclaré qu’elle avait souvent été confrontée à des rejets, par exemple pour obtenir un emplacement, ce qui lui a valu 6 mois d’efforts constants. Cependant, elle a fini par y parvenir.#
Résilience et patience ✅. C’est compris!#
Pour finir en beauté : Taisha Freeman! Elle est la directrice générale et la fondatrice deFashion Forward Designer Incubator, un centre créatif ayant pour objectif de soutenir les nouveaux concepteurs et innovateurs canadiens.#
Pour Taisha, FFDI n’est pas seulement une entreprise: c’est également un morceau d’elle-même. Né de sa passion pour la créativité, ce centre entend repousser les limites grâce à des programmes de mentorat, des ateliers sur l’image de marque et des occasions permettant aux créateurs de développer leur réseau.#
Les premiers jours de FFDI ont été marqués par des défilés de mode annuels à guichet fermé et des collaborations iconiques. La COVID-19 a présenté un premier défi étant donné que la communauté et les liens sociaux étaient des éléments centraux de la vision de Taisha.#
Avec de grands projets comme la création d’un espace physique et l’initiation de partenariats avec des écoles, Taisha nous a confié avoir beaucoup appris au fil de son parcours, notamment en matière de gestion financière.#
Voilà : ces 3 petites entreprises clientes de la TD sont passées à l’action afin de réaliser leurs rêves et ont créé quelque chose de véritablement puissant.Apprenez-en plus sur la manière dont la TDsoutient des organismes axés sur les enjeux de la communauté noire par l’entremise de La promesse TD Prêts à agir et fournit des conseils financiers à des entreprises appartenant à des personnes noires grâce à notre équipe d’expérience de la clientèle noire (comme les 3 ci-dessus). Cela s’inscrit dans notre engagement en faveur d’un avenir plus inclusif.#














